« Ce n’est pas le printemps... non, c’est une saison différente.
Chaque oeil doit sa langueur à une jouissance différente.
Bien que toutes les branches dansent,
Chacune se balance pour une raison différente. »
Mevlânâ Djelâl-Eddin-I-Roumi, Roubâ’yât, traduit du persan par Assaf Hâlet Tchelebi, Librairie A. Maisonneuve, Paris, 1984, p. 23.