« Je ne peux te décrire la beauté de ce qui n’a pas de visage
Demande aux autres, moi je suis perplexe
Les autres ne voient pas l’art que je vois
Les autres ne vantent pas la figure que je lis
Il n’y a rien d’étonnant à s’égarer à la recherche de l’ami
Ce qui est étonnant, c’est d’y être attaché et néanmoins égaré. »
SAADI, "Ghazaliiât", in Kolliiât-e Saadi, édition critique : Mohammad Ali Foroughi, Editions Negâh, Téhéran, 1994, p 608.