« On croirait voir une peinture. Je rendis visite à tous les fonctionnaires à la ronde, mais ne trouvai personne à qui parler. Puis je descendis de voiture et continuai à pied, soutenu par deux serviteurs. Comme je leur demandais s’ils trouvaient le pays beau, ils me dirent : "Nous sommes trop fatigués, qu’y a-t-il à admirer pour nous ?" »
YUAN HONGDAO (1568-1610), Nuages et pierres, traduit du chinois par Martine Vallette-Hémery, ISBN 2-87730-308-X