S’il est dommage que logiciel libre n’ai pas été inclue dans cette exposition, il est aussi dommage que votre définition du libre soit incorrect, en effet nombre logiciel libre autorise la redistribution de leur travail avec une licence différente. C’est en particulier le cas d’un des concourants de linux (BSD), mais aussi du projet xorg qui s’occupe de l’affichage de nos cher fenêtre dans la très grande majorité des distributions de nos jours.
Reprendre un résumé de la DFSG aurait été une meilleur définition.
Merci pour votre commentaire. C’est exact ; certaines licences libres autorisent la redistribution de versions modifiées de l’œuvre sous d’autres licences, y compris des licences incluant des clauses d’exclusivité (dites propriétaires). Même s’ils ne les recommandent pas, Debian ou GNU s’en arrangent puisque les versions modifiées des oeuvres placées sous de telles licences peuvent tout aussi bien être redistribuées sous des licences libres au plein sens du terme, c’est à dire des licences comportant également la clause Copyleft, clause qui assure la perpétuation des mêmes libertés pour de nouvelles versions modifiées de l’œuvre.
Cependant, comme vous avez pu le noter, pour ce texte de vulgarisation très généraliste qui ne se cantonne d’ailleurs pas aux seuls logiciels, j’étais tenue à une grande concision. J’ai donc choisi de privilégier une définition sans chicanes qui reflète pleinement la philosophie du Libre.
Entrer dans le détail des distinctions entre les licences libre-copyleft, libre-light ou semi-libre aurait débordé les limites et les objectifs de ce petit texte. En ce qui concerne les oeuvres non-logicielles, vous trouverez sur transactiv.exe un article qui tente un comparatif raisonné de quelques licences libres non logicielles : Comparatif de licences libres, le choix du libre dans le supermarché du libre choix.