Demain soir, Mardi 11 mai, il y aura deux rencontres, dont les thèmes sont complémentaires :
Les formes et les méformes de la propriété intellectuelle
Discussion publique en avant première du Livre de Florent Latrive "Copie Conforme" qui sortira en juin ou septembre prochain.
"Cette discussion publique et sans façon se déroulera dans un nouveau lieu, le Bar Politburo (25 rue du Roi de Sicile, 75004 Paris), sorte de café-philo nouveau genre, où le philosophe Domnique Lecourt reçoit tous les mois des intervenants à haute teneur en polémique. Elle est co-organisée par Philippe Di Folco et la liste orchestrée par Olivier Blondeau et Florent Latrive.
On y parlera de brevets logiciels, de la musique en ligne gratuite, des médicaments génériques ou encore d’art libre. On se demandera si des modes ou licences tels le Copyleft ou la Creative Commons pourraient nous guider vers une société du « bien commun », vers un monde dont l’écononisme ne serait plus le tyran, un univers de créateurs plutôt que de flics réels ou virtuels ? Alors que les pouvoirs se crispent et menacent les internautes de procès comme le montre la dernière campagne du SNEP (Syndicat national des Éditeurs Phonographiques), que faire ?
Nous vous invitons tous au Politburo, 25 rue du Roi de Sicile, ce 11 mai à partir de 20 heures pour en discuter "librement"." (Via Ariel Kyrou)
Diffusion, investissements, autonomie, emploi...
Dans la série des Mardis du numérique organisées par François Coulon, soirée de débat ouvert sur l’économie de la création numérique : pas de guest-star, tout le monde est invité à participer à cette discussion collective.
"Inutile de rappeler ici les résistances, idéologiques et économiques, qu’affronte la création numérique dans son développement. Si le constat de ces difficultés a fait l’objet d’atermoiements récurrents, au point de devenir une sorte de fin en soi, il a produit peu d’actions propres à les surmonter. En attente d’investissements extérieurs, la création numérique semble déjà tétanisée à l’idée d’investir sur elle-même.
Quelles initiatives, alors, pouvons-nous prendre pour créer les conditions de notre propre existence ? Quel comportement adopter en tant que public ? Artistes, spectateurs, producteurs, commissaires, enseignants, critiques... quels sont les rôles à créer — et les places à prendre ? Comment favoriser chez les artistes l’exercice d’activités professionnelles ? Et la solidarité, combien ça coûte ?"
le 11 mai 2004 à 20h30 au Lou Pascalou, 14 rue des Panoyaux, Paris 20e, métro Ménilmontant.
Mais les agendas aboutissent toujours à des histoires de frustration. Désolée chers amis, je ne pourrai aller à aucune de ces soirées parce que je bosse tôt le lendemain, j’ai plein de dossiers d’étudiants à corriger, et je prépare mes bagages pour aller à Brest pour participer aux journées Autour du Libre.
Alors si vous y allez, n’oubliez pas de m’en donner un petit compte-rendu ici ou ailleurs.