Le 17 janvier on apprenait que Virgin et la FNAC déverrouillent leur offre de musique sur Internet, le 23 janvier, c’était la fronde des associations de consommateurs européens contre les verrous d’iTunes, et voici maintenant Steve Jobs en personne, le patron d’Apple, celui qui s’étranglait d’indignation lorsque la France voulait passer une loi pour rendre l’interopérabilité obligatoire, qui préconise tout bonnement un abandon des DRM.
Mieux vaut tard que jamais ! Mais enfin, nous n’aurions pas eu ce fichu DADVSI sur les bras si les Steve Jobs avaient eu la bonne idée de rendre les armes plus tôt. Et pour faire bonne figure, Steve Jobs nous dit que ce sont les majors européens qui sont encore lents à comprendre.
Tristan Nitot donne un résumé des arguments de Steve Jobs et promet d’autres commentaires pour bientôt.